مجازر الثامن ماي 1945م القمع والإبادة في ميزان القانون الدولي

 مجازر الثامن ماي 1945م القمع والإبادة في ميزان القانون الدولي

 

ديباجة الملتقى:

       

Au cours des deux guerres mondiales, le monde a vu des exécutions de masse et des crimes de guerre abominables qui sont inaltérables de la mémoire historique. Il s'agissait de crimes contre l'humanité qui n'étaient pas égales au cours du 20e siècle, sauf à ceux commis par la France coloniale en Algérie pendant la période 1830-1962, lorsque la punition brutale et l'extermination sans pitié de toutes sortes dépassaient les limites de l’humanité au cours des manifestations du 8 mai 1945. Pendant ces événements, la force militaire française la plus puissante de l'Alliance atlantique a perpétré les massacres les plus barbares et les plus atroces, ainsi que le génocide délibéré de milliers d'Algériens sans défense et innocents, dans un complot flagrant pour diviser le mouvement national et la lutte algérienne pour se libérer de l’occupation française.

La communauté internationale, les organismes des Nations Unies et les organisations humanitaires ont observé depuis des mois la répression extrême de toutes sortes et le génocide des Algériens. La plupart d'entre eux ont gardé le silence sur la condamnation des auteurs du slogan "justice, égalité, liberté". Le droit international, avec toutes ses institutions, a également refusé sa sanction parallèlement à sa dénonciation des crimes et massacres nazis commis pendant la Seconde Guerre mondiale. À cette époque, des procès historiques contre les dirigeants du régime et des peines imaginaires pour les auteurs de tels crimes ont été prononcés, ainsi que le déni et la condamnation par des représentants d'organismes internationaux, ce qui est tout à fait le contraire de ce qui s'est passé lors du massacre du 8 mai 1945 en Algérie. Même si le massacre s'inscrit sans aucun doute dans la classification des crimes humanitaires, les caractéristiques de ce crime et de l'une des tragédies enregistrées par l'histoire ont été cachées et la communauté internationale en a gardé le silence jusqu'à nos jours.